Je croyais bien connaître les venelles et autres traverses avallonnaises les ayant parcourues du temps de mon confinement d’été chez ma grand-mère (tu dois être de retour à 5 heures...et tu me fais coucou au lavoir à 4 heures) ;
Mais non, dans un sens c’est bon mais dans l’autre ? où est passé la ruelle de la côte Gailly ? elle n’a pas escalier !
Bref mon sens de l’orientation se perd dans les dédales avallonnais à moins que mon attention ne soit retenue par les arbres qui l’un après l’autre, indifférents au coronavirus, se parent de fleurs.
Il va falloir que j’étudie la topologie pour que les rues ne soit pas un anneau de Moebius, dont je ne saurais sortir, confinée à jamais dans l’absurdité d’un monde mathématique :-)